• Bis repetita placenta

    Le trans Marianne James aussi nous fait le coup de l'avortement :

    « C'est un retour en arrière religieux, et je dis ça alors que je suis croyante. Il ne faut plus jamais sur la terre que les sociétés civiles soient dirigées par des religieux. Ils acceptent que des gosses de 7 ans soient massacrés par un ado fragile surarmé, mais il condamnent l'avortement… », a-t-elle déploré. Et de partager : « Moi je me suis fait avorter. J'ai la foi, et pourtant je l'assume. »

    Ce sont eux (les médias médiateurs de Satan) qui soulignent. Au moins, là la finalité est explicite et le sataniste Marianne James n'y va pas par quatre chemins. Marianne est un choix de prénom explicite en soi. Marianne est le prénom que les satanistes ont donné à la prostituée qui les représente, par analogie avec Marie : Sainte Marie, Notre-Dame ! Pauvres misérables damnés. Comme ils ne savent faire que singer (Satan est le singe de Dieu), ils baptisent la prostituée représentant la république Marianne.

    Marianne James et les autres satanistes enfoncent les clous dans la Croix (ils crucifieront, ils Le crucifieront aussi longtemps que le Crucifié le permettra) :

    « À 17-18 ans, j'ai su que je ne voulais pas avoir d'enfant. À l'époque, moins aujourd'hui, ce qui m'importait le plus, c'est ma liberté. Je suis suffisamment égocentrée pour être l'unique format, je ne souhaitais pas me reproduire. Ma sacro-sainte liberté aurait été sérieusement amputée si j'avais eu des enfants. »

    Si elle n'a pas eu d'enfants, l'artiste de 60 ans a tout de même souvent l'occasion de s'occuper d'enfants. « Je suis marraine sept fois. Mes filleuls ont entre 2 et 33 ans »

    On appréciera le choix des chiffres (17, 7, 33…). La liberté est « sacro-sainte » : sacrée et sainte… Le trans parle là de la liberté vendue par le serpent, mais vendue très, très cher : contre son âme. La liberté de faire le mal, de se rebeller contre son Seigneur et Créateur et de suivre un vil serpent.

    Le trans a vendu son âme et voudrait que chacun la vendît aussi. On ne veut pas être seul à se damner, c'est normal, on veut embarquer le plus d'âmes possible dans sa chute quand on se perd. On devient un récoltant d'âmes comme l'Adversaire. On fait le même job quand on s'est vendu. Notre-Seigneur cherche à tout prix à sauver notre âme, l'autre cherche à la perdre, et tous ses disciples de lui emboîter le pas.

    Liberté, liberté, liberté… Chaque fois qu'il est question de liberté, c'est cet autre qui est derrière la porte avec sa camelote. Il n'y a pas de liberté en dehors de la Vérité, et il n'y a de Vérité qu'en Notre-Seigneur. 

    Marianne James doit avoir le syndrome d'Amanda Lear : ils commencent ouvertement, officiellement, leur « carrière » comme trans-formistes puis ils veulent qu'on oublie tout ça, qu'on oublie le contenant pour ne retenir que les prothèses, les perruques, les plumes, les strass…

     

    Au moins, il ne cache pas son jeu.

     

     

     

     

     

    Bis repetita placentaCet homme a le goût des chiffres.
    On note au passage l'asymétrie des yeux,
    consécutive à l'abus d'hormones.

     

     

    Si on dégraisse un peu le mammouth,
    on perçoit mieux les angles
    et les clavicules, remarquables de rectitude.

     

    Il a fait son coming-out en 2019, à la « Marche des fiertés » :


    « Je voudrais dédier une petite chose que je vais faire maintenant avec vous à tous ceux qu'on a perdus, soit dans la bataille, soit par la maladie. On a perdu beaucoup, beaucoup de potes, surtout dans ma génération. »

    « On », c'est « nous ». Officiellement, c'est une femme hétérosexuelle, mais là il s'identifie comme trans et comme gay : il fait son coming-out.


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