•  « L’esclavage perpétuel proposé ici dans une cage de fer
    et sous
    les coups sera préféré car il sera pire que la mort

    — c’est ça le progrès des Lumières. »
    Marion Sigaut

     « … ils ne veulent pas seulement nous posséder,
    ils veulent que nous soyons malfaisants comme eux,
    ils veulent nous emmener en enfer comme eux,
    ils veulent que nous aimions le mal comme eux. »
    F. Alexis Bugnolo 

    On peut tuer les gens de plusieurs façons. Après la mort sociale qu'ils sont chargés de mettre en œuvre, les organismes de tutelle usent de deux méthodes pour se débarrasser du cadavre :

    • ils l'assassinent ;
    • ils l'acculent au suicide.

     

    La première méthode est moins cruelle que la seconde — qui a donc les faveurs de l'Udaf. Après, ils mettent le tout sous le tapis et… on n'en parle plus. Résultat, on n'en parle plus ; les cadavres s'amoncellent par milliers chaque année sous le tapis mais on n'en parle pas. Parce que c'étaient déjà des morts, des morts socialement, et pour ceux-ci nulles obsèques, nulles condoléances, nulle couronne mortuaire. Des morts sans tombeau, des morts sans sépulture, des morts sans nom. Même pas une croix : même pas l'essentiel.

    Ils n'ont droit à rien, ils n'ont aucun droit, parce qu'ils n'existent pas. Ils sont comme des êtres invisibles qui hurleraient au milieu de la foule en s'arrachant les cheveux sans que personne les voie ni les entende, sans que personne le veuille même. Ce sont les morts socialement. On les a tués. On a voulu leur mort. « On » : qui ? pourquoi ?

    Peut-on dire qu'il y a deux écoles, celle qui assassine et celle qui accule au suicide ? Je ne le pense pas, je pense que la méthode dépend de la nature de la victime. Pour moi (pour ce qui était moi, puisque je suis morte), c'est la seconde méthode qui a été choisie, parce que je suis faible et que c'était amusant de me torturer ; et pourquoi les organismes de tutelle ne joindraient-ils pas l'utile à l'agréable, c'est-à-dire la torture à la spoliation, c'est-à-dire le sadisme à l'appât du gain ?

    Ces gens ne connaissent pas les scrupules qu'une conscience peut introduire dans un esprit humain, puisque ces gens ne sont pas de cette espèce. Leur absence de conscience révèle leur nature non humaine. Ce n'est donc pas leur faute. Peut-on dire cela ? Si l'on dit cela, il faut dire pareillement de Satan « ce n'est pas sa faute », et c'est une hérésie ! C'est donc leur faute, ils ont choisi.

    Cela nous amène à cette question de fond : s'il y a des fils de Satan, cela signifie-t-il que Satan peut créer quelque chose ? Je dirais que non, puisque ce qu'il « crée » n'est en fait qu'un outil de destruction (comme l'est le tutueur-curatueur). Peut-on dire qu'il « crée » pour mieux et plus détruire ? On peut avancer cette supputation, même s'il faut rester prudent en la matière : ce n'est donc qu'une supputation. Il n'en reste pas moins un refus farouche, sauvage, de l'âme à admettre que tous ici-bas sont fils de Dieu. Peuvent-ils être fils d'un autre, qui ne peut créer ? Peuvent-ils être entités de la même nature que cet autre et ayant pris apparence humaine ?

    Quoi qu'il en soit, la captation des biens matériels de la personne (laquelle n'est jamais considérée comme telle) est la finalité recherchée par les organismes de tutelle. Nous remarquons incidemment que tutelle et truelle sont étrangement proches — frères paronymes — pour user d'un oxymoron, soit deux figures pour le prix d'une, deux en un, ou trois si l'on considère que frères paronymes est pléonastique. Mais ce n'est pas l'objet.

    L'objet est plus prosaïque, tellement prosaïque qu'il me répugne de le manipuler, et c'est pour cela qu'inconsciemment il semblerait que je fisse tout pour le contourner et ne pas avoir à le traiter, parce qu'on répugne toujours, étonnamment, à plonger ses mains dans le bac de matières excrémentielles, puisqu'« il est difficile de toucher la saleté sans se salir les doigts »… Pourtant, il faut se faire violence, et il n'y a pas de vision trop hideuse pour l'œil clair ni d'odeur trop méphitique pour la narine dégagée.

    Si les sens ne sont pas pervertis, ils doivent pouvoir soutenir toute monstruosité, toute aberration, toute abjection, toute forme d'inhumanité. C'est l'œil coupable qui se détourne, de même que la main souillée, la vue déviante, le goût perverti, le flair vicié. C'est amusant que le vice ne puisse pas se faire face, ne veuille jamais se faire face — à croire qu'il n'aura jamais à le faire ! Qu'il continue à le croire, mais il n'en tombera que de plus haut. Il y retrouvera ceux avec qui il s'était allié céans, ses frères francs-macs, talmudistes de Babylone, idiots escrocs, onanistes, pédos et autres pédérastes, etc.

    L’ange à saint Jean Bosco : « Ils ont été condamnés parce qu’ils sont coupables, malgré leur apparente innocence. » « C’est l’impureté qui cause la ruine de nombreux jeunes ! »

    Ils se haïront tous enfin à leur juste valeur et ils se haïront eux-mêmes, ils se vomiront encore plus — c'est donc assez incommensurable — qu'ils ne font vomir les autres ici-bas. N'oublions pas qu'ils l'ont voulu. Ils l'auront. Ils se sont enlisés dans le mal, ils ont signé et contresigné leur visa pour rejoindre leur père. Ils vont y aller, parler à leur père, et peut-être même plus tôt que celui-ci n'aurait voulu les rappeler à lui.

    On trouve ici-bas toute la grande catégorie des refoulés de l'enfer. Ceux qui sont encore ici-bas sont ceux qui sont tellement misérables et méprisables que même Satan n'est pas pressé de les rappeler à lui. Ce sont tous ces gens qui feraient pitié s'ils ne faisaient vomir. On les trouve prioritairement dans les organes de la république. La république recrute en priorité de ces étrons. La république ne peut pas collaborer avec autre chose qu'avec des choses de cette nature.

    Si ce sont des choses, sont-ce des gens ? Ce sont des entités démoniaques ayant vaguement apparence humaine. Leurs yeux trahissent leur patrie. D'ailleurs la vue de tant de laideur est insoutenable. Ça contredit ce que j'ai dit plus haut : l'œil doit pouvoir tout soutenir. Comment sortir de l'aporie ?…

    L'œil doit pouvoir soutenir toute immonde hideur, le nez doit pouvoir soutenir toute immonde pestilence, etc., mais cela ne veut pas dire que mon œil y soit prêt, que mon nez y soit prêt… Mon œil ne le peut pas, mon nez ne le peut pas. L'âme ne le peut pas, s'y refuse de toute son âme, se cabre, se débat, et dirige finalement ses pas en arrière et non en avant… L'âme n'est pas prête. Quelle âme peut prétendre l'être ? Quelle âme l'est réellement, pratiquement et non théoriquement ? Si un franc-mac tripote un gosse, les parents dudit gosse pourront-ils garder des dispositions toutes chrétiennes à l'endroit dudit mac ?

    Je n'ai pas envie de rendre grâce d'avoir eu affaire à ce qu'il y a de plus vil, de plus bas, de plus misérable, de plus hideux, de plus répugnant, de plus stupide, de plus grossier, de plus vulgaire en ce très bas monde, et je n'ai pas envie de rendre grâce de devoir avoir affaire après ça à l'immonde Udaf, qui parachève l'assassinat, qui parachève l'œuvre d'écœurement absolu. (Mais tout cela n'est pas le fruit du hasard.) Je n'ai pas envie de rendre grâce, pourtant c'est ce qu'il faudrait faire, c'est ce que doit faire un chrétien. J'en suis incapable. Puis-je me dire chrétienne ?

    À ce stade, il faut citer l'intégralité de la phrase de la bienheureuse Stéphanie :

    « Quand l'homme marche par ce chemin de l'affliction et de la désolation, l'amertume qui remplit son pauvre cœur le dégoûte entièrement du monde et des appâts de cette vie. L'homme étant dégoûté de ce monde, goûte d'un autre côté son Dieu : goûtant Dieu, il s'attache à lui : s'attachant à lui, il embrasse toutes ses volontés : embrassant toutes ses volontés, il se conforme entièrement à lui : se conformant entièrement au bon plaisir de Dieu, il se transforme en lui. Et ainsi l'affliction est le chemin du parfait amour et de la parfaite transformation. »

    Je n'ai pas envie de rendre grâce, parce que je n'ai pas l'élévation d'âme nécessaire, parce que je ne suis pas habitée des bonnes dispositions. Le dégoût, l'âcreté dans l'arrière-gorge supplante le reste. J'aurais voulu ne pas partir avec cette âcreté, mais il semble que le Seigneur ne l'ait pas voulu. Je n'étais pas dans les dispositions idéales pour partir, il restait cet arrière-goût envahissant et parfaitement écœurant. Je suis partie avec ça, je suis partie avec l'envie de vomir supplantant tout. Je le regrette, je regrette de n'être pas dans les bonnes dispositions.

    Mais qui garde des dispositions toutes chrétiennes face à l'iniquité, à la perversion, à la plus immonde vilenie ? Combien sont-elles ces âmes d'élite ? Chez les autres âmes, pléthoriques et plébéiennes, l'âme se refuse ; que faire quand l'âme se refuse ? faut-il prier qu'elle accepte, prier qu'elle accepte l'immonde, prier qu'elle accepte l'inacceptable ? « Inacceptable » est un mot de la langue, et des plus usuels, et il a toute une flopée de proches parents : intolérable, insoutenable, inadmissible… N'ont-ils pas leur raison d'être ? Ne correspondent-ils pas à une réalité, qu'ils décrivent ?

    C'est une réalité, notre réalité, ma réalité, dans mon petit monde étriqué et mon petit esprit mesquin, mais le christianisme demande la transcendance, demande qu'on se transcende, il demande l'impossible… C'est peut-être ce qui explique le petit, et de plus en plus petit, nombre de chalands qui croisent en ses eaux. Pourtant, c'est tout ce qui fait son attrait la transcendance à laquelle il nous appelle. Être chrétien, c'est vouloir être plus que ce qu'on est, c'est vouloir être au-delà de soi. Il doit y avoir une part d'orgueil… Aïe, c'est là le plus grand piège, tirer de l'orgueil du fait d'être chrétien, et par là même tomber de Charybde en Scylla…

    Le christianisme, c'est bien parce qu'il nous demande l'impossible qu'il a essaimé sur tous les continents et résisté à deux millénaires de persécutions ininterrompues, c'est parce que l'homme est appelé à l'impossible mais que l'impossible n'est pas de ce monde, il n'est donc pas de ce monde (prémisses-syllogisme, CQFD). On est attirés par ce qui n'est pas à notre portée. Ce qui est inaccessible ici-bas nous attire irrépressiblement, parce que ça correspond à notre essence, c'est ce que nous sommes appelés à être, c'est ce que nous devrions être, ce que nous n'aurions jamais dû cesser d'être. C'est la nostalgie de l'à-venir.

    Ainsi donc on commence par tuer socialement, par la tutelle-curatelle, puis on tue le corps en assassinant (en HP notamment) ou en acculant au suicide. L'assassinat social permet de se débarrasser des fâcheux, les fâcheux qui refusent la corruption systématique comme mode de gouvernance, les fâcheux qui refusent le satanisme institutionnalisé.

    La mort sociale


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  • Pour récupérer notre liberté : stop aux curatelles et tutelles abusives

    https://www.mesopinions.com/petition/droits-homme/rendre-liberte/123257

    Éradiquer les tutelles et curatelles en France qui ne sont que
    spoliations et maltraitances

    http://chng.it/mWBdKrC9Vy


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  •   « N'acceptez pas le grand mensonge maçonnique selon lequel
    nous, les chrétiens, ne pouvons jamais utiliser la violence,
    ou que la violence est toujours mauvaise. »
    F. Alexis Bugnolo

    Balance ton pédo (liste à « enrichir »)

    Que fait la police ? Que fait la justice ? Ah oui, elles s'occupent de persécuter les deux-trois chrétiens qui résistent à la république satanique (pléonasme).


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  •  

    Balance ton franc-mac (liste à « enrichir »)

    Balance ton franc-mac bis (liste à « enrichir »)

     

    Que fait la justice ? Elle complote et magouille en loge.

     

     « L’omerta mafieuse : loi du silence, faux témoignages, informations tronquées, demi-vérités, sournoiseries, etc. Voilà bien le modus operandi de la fourberie en cours. Et tout un chacun peut compléter la liste de ces parades théâtrales. » (F.·. Michel Maffesoli.)

     

    « Avant tout, gardez-vous du levain des pharisiens, qui est l'hypocrisie. Il n'y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. C'est pourquoi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres sera entendu dans la lumière, et ce que vous aurez dit à l'oreille dans les chambres sera prêché sur les toits. » (Lc, XII, 1-3.)

    « Ne les craignez donc point ; car il n'y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. Ce que je vous dis dans les ténèbres, dites-le en plein jour ; et ce qui vous est dit à l'oreille, prêchez-le sur les toits. » (Mt, X, 26-27.)


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  • Comment agissent les manipulatuteurs et autres « institutionnels »


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  • Nous appellerons le mandataire judiciaire par une abréviation de type acronyme : Maj. C'est inévitable vu sa proximité d'avec son homonyme le mage. Les deux commercent avec les esprits, les deux versent dans l'occultisme, pour ne pas dire que c'est tout l'objet, in fine, de leur activité.

    Cette activité de Maj fonctionne sur le principe bien connu de : faire de l'argent à partir de rien. C'est le principe de la banque. Le Maj est donc un banquier. « Il est pernicieux que l’argent produise de l’argent. Toute stipulation d’intérêt relève d’une vilaine paresse car elle vient, sans labeur, grossir, au moment
    de la restitution, la somme prêtée. Je veux interdire l’usure
    et l’argent qui prospèrent en dormant. » (Saint Louis.)

    La formation de banquier est en conséquence idéale pour devenir Maj. Mais aucune formation convient parfaitement aussi, pour peu que l'on maîtrise ses classiques en matière de magie noire, blanche ou rose. Il s'agit de conclure des pactes avec le Malin en contrepartie de la jouissance matérielle – illimitée si l'on veut, c'est à la portée du premier idiot venu – et de l'impunité terrestre assurées.

    Quel terme est le plus proche synonyme de Maj ? « Parasite ». En effet, le Maj vit, s'épanouit, pospère strictement aux dépends des hôtes qu'il colonise, lesquels — ne pouvant s'en défaire — s'affaiblissent, dépérissent et finissent par y laisser la peau. Cela oblige le parasite à chercher régulièrement de nouveaux hôtes à coloniser, pour recommencer son cycle de parasitage.

    Le Maj est un de ces opérateurs de l'ombre qui sont méconnus et gagneraient à être mis en lumière, même si, curieusement, il tient à continuer à œuvrer et à prospérer dans l'ombre. Il a l'habitude d'opérer en coulisses, d'opérer en toute discrétion, d'opérer derrière votre dos ou, frontalement — cela arrive ! —, mais au-dessus de votre cercueil. C'est le seul moment où il agit frontalement. On le rencontre dans l'ombre, dans la pénombre, voire dans la nuit épaisse des cimetières où il s'adonne pieusement à quelque rituel sataniste, pour complaire à son père et maître. 

    De nos jours, le plus souvent, on ne choisit pas un métier par passion, mais il arrive que l'on choisisse un métier pour assister à la passion des autres, parce qu'on aime voir souffrir (passion et pâtir ont la même étymologie). Si donc on aime voir souffrir et si on aime faire souffrir, mais que bien entendu on ne supporte pas de souffrir soi-même, Maj est le métier tout indiqué. Si la vue du sang met en appétit, si on est un charognard invétéré, Maj est le métier idéal.

    Mais, attention ! il faut redire que le Maj n'est pas un charognard exclusivement, c'est un écorcheur à vif : il doit aimer le sang frais, la chair fraîche aussi. Des synonymes imparfaits de « mandataire judiciaire » seraient : vampire, écorcheur, déchiqueteur, tripier, saigneur, bourreau. Ils sont imparfaits puisqu'ils ne reflètent qu'une partie de la réalité.

    C'est un métier injustement méconnu, mais les places sont rares. En effet, il y a peu d'élus, car il faut posséder certaines qualités au plus haut degré : l'absence totale de compassion — un psychopathe présente le profil idéal —, le sadisme. Il faut aimer voir les autres souffrir et aimer les faire souffrir, cela procurant un ineffable plaisir. On observe, lors d'une stimulation visuelle présentant des humains ou des animaux torturés à des Maj, une activation des zones du plaisir chez ces derniers. C'est scientifiquement prouvé, donc démontrable. Si ce n'est pas le cas, que l'on me montre par l'imagerie cérébrale que ce n'est pas le cas.

    Les humains peuvent se diviser en trois catégories :

    1. Ceux qui, à la vue de la souffrance d'autrui (qu'il soit humain ou animal), souffrent à leur tour, cette vision leur étant insupportable ;
    2. Ceux qui, à la vue de la souffrance d'autrui (qu'il soit humain ou animal), restent parfaitement indifférents ; ces « humains » constituent la majorité ;
    3. Ceux qui, à la vue de la souffrance d'autrui (qu'il soit humain ou animal), ressentent de la jouissance et du plaisir ; c'est toute la masse des sadiques. On trouve bien sûr les troupes de l'Udaf au premier rang de ceux-ci.

    Il faut rappeler aux humanistes du dimanche et autres philanthropes de la saint-glinglin que, là aussi, l'imagerie cérébrale a tranché, et l'indifférent à la souffrance d'autrui l'est pareillement que cet autrui soit Homo sapiens ou quelque autre animal. « On n'a pas deux cœurs, un pour les animaux et un pour les humains. On a un cœur ou on n'en a pas. »

    Sur le plan intellectuel, les attentes vis-à-vis du Maj sont des plus limitées, puisque celui-ci opère essentiellement auprès de débiles mentaux (comme bibi), il lui sera donc aisé de faire illusion en toute circonstance et de paraître plus intelligent que ceux qu'il colonise.

    Le Maj se caractérise également par un culot illimité, ou chutzpah  : c'est ainsi qu'il n'hésite pas à revendiquer, à manifester, à réclamer même une augmentation ! Le Maj est une denrée rare, et une denrée qui se fait discrète, puisqu'il ne souhaite pas qu'on lui retire le pain de la bouche. C'est plutôt du caviar en l'occurrence, le pain étant réservé aux manants.

    Le Maj est payé au client, à l'instar de la prostituée. S'il perd un client, il perd donc des sous. Mais, si son client canne, il gagne des sous, parce que là il a tout prévu depuis le début, avant même que le protégé ne lui soit confié — tout a déjà été pensé en amont avec les services compétents. Il faut donc qu'il garde un maximum de clients en permanence — ce n'est pas un problème, l'institution judiciaire lui en fournit à volonté, par le truchement de certificats médicaux bidon à gogo — et qu'il en élimine en parallèle un certain nombre pour aligner 777 chaque fois.

    Le Maj tient donc à rester rare, car, s'il se multipliait, le fretin se diluerait pour lui : plus de Maj égale moins de clients par Maj, et donc moins de sous pour chaque Maj. C'est un véritable drama pour le Maj, lui qui a choisi son activité pour le lucre et l'impunité dont il jouit sans entraves tout au long de sa vie terrestre. Pour la suite, comme tous les gens de son espèce, il pense qu'il sera encore sous la protection de son père, Satan. Il ne sert à rien de le désillusionner en lui faisant voir que non, puisqu'il n'écoutera nullement, c'est un disciple indétournable de Mammon, une sorte d'incorruptible de la corruption.

    Le Maj s'inscrit parfaitement dans une république, c'est un républicain idéal. C'est le type même du républicain, il épouse parfaitement toutes les valeurs de la république et les incarne à la perfection. Ce n'est pas pour rien qu'il a ce qualificatif de judiciaire : c'est un institutionnel. Évidemment on pourrait s'arrêter là. Mais disons un mot d'un des synonymes de la république : inversion.

    L'inversion est le terme universel qui permet de comprendre tout dans une république, le présent et le passé. On ne peut pas citer l'avenir parce que la république ne peut en avoir — Deo gratias ! —, mais « Puisque tout s'étrique, / L'âme et le cerveau, / Ah ! vivons pratiques / En ces temps nouveaux ! » et concentrons-nous sur le présent…

    Inversion est un synonyme de satanisme. Quand on a cette clef de compréhension, on a tout saisi, mais combien en disposent, de cette clef ?… Là encore, il faut revenir au prince de ce monde, menteur et père du mensonge. C'est précisément le père-mère du mandataire. Le Maj doit mentir, tout le temps, systématiquement, sans aucune hésitation. Il ne doit faire que ça. Il ne fait effectivement que ça, s'il est compétent.

    Les candidats ne manquent pas mais l'Udaf est sélective : elle ne retient que les plus parfaits menteurs, il faut qu'ils mentent avec le sourire et sans aucune retenue, sans le moindre remords, sans la moindre hésitation, sans le moindre scrupule. Le candidat doit être parfaitement dépourvu de conscience. Et ce n'est pas si facile à trouver pour l'Udaf, ça ne représente que quelque 5 % de la population, et de ces 5 % l'Udaf ne retient que la crème : le psychopathe idéal. Elle est amenée à rejeter la majorité des candidats, avec dédain et dépit : « Pff trop scrupuleux ! »

    De son bureau, le Maj gère tout : théoriquement, à aucun moment il n'a à se déplacer ou même à remuer plus que les doigts, pour décrocher le téléphone ou tapoter quelques mots. Il n'a rien à faire physiquement, il n'a qu'à récolter le fruit de ceux qui ont sué, trimé, ramé, marné pour gagner quelques sous. Il n'a qu'à récupérer ces sous. C'est tout l'objet de l'activité du Maj. Les compétences techniques nécessaires consistent donc à savoir accéder aux comptes : pour cela il faut récupérer les numéros de compte. C'est le seul cas qui peut obliger le Maj à effectuer, exceptionnellement, un déplacement.

    À tout prix il faut qu'il récupère tous les numéros de tous les comptes de ses protégés (= spoliés selon le langage de l'inversion), et qu'il prenne la main dessus — lui seul. Je suis navrée que la manipulatutrice de l'Udaf ait dû se déplacer une fois — en deux ans — pour récupérer les numéros de mes comptes. Elle me le fait payer cher, certes, ce déplacement, et c'est bien normal. Cela dit, l'Udaf est généreuse (avec les sous des protégés), elle défraie largement les Maj qui doivent se déplacer une fois le siècle pour récupérer les numéros de compte. Et les repas sont pris en charge, permettant aux Maj de s'engraisser sur tous les plans.

    Quelques exemples peuvent illustrer grossièrement le principe de l'inversion. Le discours officiel de l'institution judiciaire, des psys, puis a fortiori de l'Udaf, dit : « Vous avez des problèmes, vous avez des difficultés. Ne vous occupez de rien, nous allons vous aider. » Cela signifie : « On va t'anéantir, espèce de minable idiot naïf. »

    « Nous allons vous aider à vous loger » signifie « Tu vas crever comme une m*** dans la rue, pauvre imbécile ! » Évidemment, l'activité étant particulièrement triviale, le vocabulaire l'est aussi (et encore l'édulcoré-je).

    L'inversion, cela signifie que le sens est exactement contraire aux mots, le signifié est le contraire du signifiant. Pareillement, quand la république parle de « justice sociale », c'est tout le contraire, c'est l'iniquité absolue, la dépossession, la suppression de la propriété privée (sauf pour les apparatchiks, de l'Udaf et autres), qui est redistribuée aux pires crapules. La justice est toujours en faveur des crapules.

    Les Maj, aussi appelés manipulatuteurs et manipulatutrices, ne s'expriment que par antiphrases, ce qui permet au lycéen même peu brillant de saisir cette figure de style. Par exemple ils « aident » la personne vulnérable : en réalité, ils profitent de la personne vulnérable pour s'enrichir à ses dépends. La personne vulnérable est repérée en amont, et elle est poussée par une meute de chiens courrants, ou rabatteurs, vers l'abatteur, soit le mandataire judiciaire, qui va procéder à son exécution.

    Cette dernière peut prendre plusieurs années pour le protégé qui n'a décidément pas de chance, ou que Dieu veut éprouver particulièrement, et qui doit donc appréhender cette saignée du mandataire, ou exécuteur, avant l'exécuteur testamentaire, ou notaire — qui œuvre de concert avec le premier exécuteur —, comme une grâce. C'est ainsi qu'il faut l'appréhender et ce sont ces croix que le Seigneur met sur le chemin du pèlerin sous la forme de démons de l'Udaf ou d'autres organismes et institutions spécialistes de l'inversion.

    Le pèlerin chemine, il chemine sur cette terre qui ne sert qu'à cela, à se préparer en cheminant. La façon dont on chemine déterminera la destination finale, c'est logique. Nous ne sommes donc que des pèlerins, des âmes en chemin. Le chemin semble long, cabossé, chaotique, il ne laisse pas de répit, des détrousseurs sont présents derrière chaque fourré. Il n'est pas long, c'est nous qui l'appréhendons ainsi parce que nous avons une notion du temps biaisée. Il n'est pas long mais il semble ne jamais finir. Le Maj est là pour le raccourcir opportunément — l'opportunité est d'abord pour lui. C'est aussi une définition du métier : raccourcisseur de ligne de vie. C'est ainsi que des facteurs a priori inattendus (pour certains, mais calculés par d'autres) influent sur le chemin ici-bas.

    Voici quelques figures contemporaines qui feraient assurément de parfaits mandataires judiciaires, puisqu'elles disposent de toutes les vertus maçonniques nécessaires :

     

    Sandrine Devillard, une prostituée vénale

    La grande sataniste qui veut parler à son père, SatanMarie Sara la bouchère

     

     

    La grande-prétresse Marina Abramović

    Fiche métier : mandataire judiciaire (Maj)

     

    Fiche métier : mandataire judiciaire (Maj)

     

    Le talmudiste pédomane Matzneff, qui a bénéficié de l'impunité totale toute sa vie grâce aux réseaux

     

    Il ne faut évidemment pas être suspect de sensiblerie, mais il est indispensable de savoir simuler en toute occasion. La simulation, la fausseté, la fourberie doivent être permanentes. Des histrioniques peuvent faire l'affaire. Le Maj doit être en permamence immergé dans le mensonge. Ce n'est pas sa deuxième nature, c'est sa première nature, son unique nature. Le Maj doit être à l'image de son père, le père du mensonge, mais en encore plus minable, un démon de petite envergure.

    L'impunité étant assurée, il ne faut s'inquiéter de rien. Que des cadavres sortent, par les pieds, de tous les placards, ce n'est pas un problème, le Maj est assuré de l'impunité (tout au long de sa vie terrestre, rappelons-le, nous sommes toujours dans cet espace-temps misérable). L'odeur est méphitique, certes, mais ne dérange pas le Maj, qui sème des cadavres tout au long de sa route et n'en est pas indisposé, parce que c'est une créature chtonienne, et comme nous l'avons vu Satan, en disparaissant de la vue, laisse toujours dans son sillage une odeur nauséabonde.

    Pour beaucoup de métiers, l'« esprit d'équipe » est requis : c'est tendance. Nul besoin de cela pour le Maj, qui doit en revanche posséder l'esprit de réseau. Il travaille en réseau, c'est ce qui lui permet de bénéficier de l'impunité totale. Son réseau se compose de ses supérieurs, qui doivent être affiliés aux loges locales ; les supérieurs des supérieurs doivent être un degré au-dessus dans la pyramide. On quitte alors les loges bleues. Le réseau comporte les notaires, qui exercent une activité totalement illégale par définition (ils exécutent une fonction de service public en étant libéraux : c'est illégal, mais ils œuvrent en réseau, donc ça devient légal, comme pour les Maj).

    Le réseau comporte les agents de l'État (donc affidés de la république) rattachés aux hôpitaux, qui se débarrassent promptement des protégés intéressants (à la demande des Maj le plus souvent), qui rabattent aussi les plus faibles et vulnérables vers les Maj, lesquels se chargent de l'exécution. Le réseau comporte évidemment l'institution judiciaire, dont toute l'action est occulte. Elle couvre le Maj institutionnel, qui a en conséquence carte blanche.

     

    Fiche métier : mandataire judiciaire (Maj)

     Ci-dessus : Une oie blanche prise en charge par une professionnelle de l'Udaf


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  • C'est pourquoi les démons — notamment ceux qui sont travestis sous l'apparence d'humains et qui pullulent sur la terre, qu'ils ne cessent de parasiter — se déchaînent tout particulièrement en ce moment, ils savent que leur fin est proche.

     

    * Citation du chanoine Weber.


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  • Non, il n'y a rien à faire pour les damnés, leur sort est scellé. Ils l'ont scellé. Le Seigneur fait tout pour nous sauver, mais il ne peut pas nous sauver malgré nous. Il le peut (Il peut tout…), mais Il ne veut pas sauver ceux qui refusent obstinément de l'être. C'est cela le libre arbitre : le choix que nous avons de nous sauver. La plupart d'entre nous refusent de se sauver : c'est leur choix. Chaque damné a choisi sa fin.


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  •  

    Saint Paul répond à cette question :

    « … et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles qu’on méprise, celles qui ne sont point, pour réduire à néant celles qui sont, afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu. »

     

    Pour se faire une idée du fonctionnement de l’Udaf on peut consulter les résultats de recherche Google. On sait que les résultats de recherche Google sont entièrement manipulés, censurés, expurgés. Sur vingt et une pages de résultats de Google, on ne trouve ainsi aucune information sur l’Udaf, en dehors d’un vieux dossier « insignifiant » de fausses factures qui apparaît vaguement tout en bas de la page 12. L’Udaf censure, épure, opère en réseau — c’en est la preuve.

    Dès lors, ils sont capables de tout puisque l’impunité est assurée. Ils travaillent de concert avec les groupuscules occultes, en toute impunité puisque ces derniers les couvrent, et ces derniers tiennent tous les leviers en république. La république est une organisation occulte par définition. Elle s’est érigée sur l’assassinat resté impuni de plus de un million de catholiques français, essentiellement des paysans, et sur la tête décapitée, brandie tel un trophée, du roi très-chrétien, dont le pouvoir est de droit divin.

    C'est un holocauste à la gloire de leur dieu Satan, qui réclame du sang et de la souffrance, un maximum de sang et de souffrance. Les républicains se sont d'ailleurs hâtés de lui ériger une statue à la place de la Bastille : une immense statue d'Isis, figure luciférienne et incestueuse, qui montre assez éloquemment que la république renverse l'autel du vrai Dieu pour lui substituer le culte de Satan-Lucifer. La république est sataniste par essence ; si l'on a compris cela, on a compris l'essentiel, et la compréhension réelle des faits historiques en découle naturellement.

    La république tient son pouvoir de l’Adversaire. Pour l'obtenir, elle conclut des pactes, des pactes de sang, des holocaustes — la saignée et la décapitation de chrétiens font pleinement partie de ces rituels occultes. (À plus petite échelle, on sacrifie une poule, un bouc, une chèvre ; dans les couches « supérieures », on sacrifie un bébé, un enfant, voire un peuple, par exemple les Vendéens, « il n’existera plus dans la Vendée sous quinze jours ni maisons, ni subsistances, ni armes, ni habitants », écrit le républicain exemplaire Turreau. Hiroshima et Nagasaki sont emblématiques à cet égard, puisque ces deux villes concentraient la quasi-totalité des chrétiens du Japon : le satanisme dans toute sa splendeur.) Mais ils ne le sont même plus, occultes, et il faut vraiment être un parangon de mauvaise foi (tel un P. Pascot) pour feindre encore d'ignorer leur existence.

    La monarchie de droit divin s’oppose à la république de droit démoniaque, qui devait renverser la première pour prendre sa place et instaurer sa démonocratie. Il fallait renverser le trône et l’autel (et voilà quelque cinquante ans l'autel sacrificiel issu des pires rites païens s'est invité dans la quasi-totalité des édifices « catholiques » !). Les conséquences au quotidien sont une persécution incessante des quelques chrétiens qui restent (fidèles), les autres étant assurés d’une paix relative pour autant qu’ils continuent à vénérer Satan. L’alternative, par définition, ne comporte que deux termes : chrétien ou antichrétien. S’il ne reste que quelques milliers de chrétiens dans ce pays, les autres sont donc des antichrétiens, représentant quelque 60 millions d'âmes déchues.

    Ou on est chrétien ou on est antichrétien. Les Français ont fait leur choix. Ils en subiront les conséquences. Ils ont déjà ce qu’ils méritent mais ils l’auront de façon encore plus éclatante à titre posthume. La plupart des gens finissent logiquement en enfer — les Pères de l'Église, notamment, nous en avertissent —, c’est factuel et c’est logique. Mais savent-ils a priori à quoi ressemble l’enfer ? Pour le savoir, ils peuvent se référer à la vision de Thérèse d’Avila, s’ils sont encore capables de jugement. Pour quelques biens matériels (c’est un oxymore, ce qui est matériel ne saurait être un bien) ils se damnent. L’enfer, on y reste éternellement. Pour quelques « biens » matériels donc, pour de la sensualité ici-bas, ils se condamnent à l’enfer. C’est leur choix. Qu’ils n’aillent pas prétendre qu’ils ne savaient pas.

    Oui, il vaut mieux souffrir ici-bas, être saigné à vif ici-bas (par exemple par l’Udaf, dont c’est le rôle premier, ou quelque autre association de malfaiteurs) et ne pas finir damné. La souffrance temporelle n’est rien. Elle est beaucoup, elle est insupportable au moment où on l’endure mais elle n’est rien à l’échelle divine. « Souffre avec moi, comme un bon soldat de Jésus-Christ. » Notre « espace-temps » est misérable ; nous sommes des misérables. Et nous aggravons notre cas en croyant que nous sommes quelque chose, ou en voulant être quelque chose.

    Si la plupart des gens finissent en enfer, cela signifie assez qu’il ne faut pas se conformer à la plupart des gens. (La logique de Massillon est imparable.) Si on les singe, on finira comme eux. L’autre doit donc être un contre-modèle. Voyons comment agit un fils de Satan, et faisons exactement l’inverse. Voyons par exemple comment agit un représentant de l’Udaf, ou un représentant de l’institution judiciaire — puisque c'est elle qui place, en toute connaissance de cause, les « personnes vulnérables » entre les tentacules monstrueux de l'Udaf et par là même dans un irréversible désespoir ! —, et faisons exactement l’inverse.

    Ils ne savent que mentir : refusons le moindre mensonge. Soyons toujours dans la vérité, seul le Christ peut nous permettre cette audace. Laissons le mensonge aux serviteurs pathétiques de Satan, qui est « menteur et le père du mensonge ». Accessoirement, le mensonge va de pair avec le vol. Tout menteur est un voleur, l'adage (que je viens de créer, certes) ne s'est jamais démenti, et ce n'est pas l'Udaf qui le démentira !

    Ils font tout de façon occulte, cachée, ne savent même plus agir autrement : soyons transparents.

    Ils sont totalement dépourvus de scrupules, ils sont tout acquis à Satan : refusons tout péché, même apparemment minime ; ne laissons pas le moindre interstice à Satan pour s'infiltrer, ou il prendra toute la place. Accepter un « petit » péché, c'est accepter le péché en soi, c'est accepter de pécher, c'est donc le mal exclusivement. C'est exclusivement mal, et c'est la porte ouverte à n'importe quel péché. C'est la porte ouverte à Satan, tapi juste derrière, qui n'attend que cela, qu'on la lui entrouvre. Une fois la porte ouverte, c'est mieux qu'un boulevard qui s'étend derrière : ce sont les Champs Élysées, l'enfer. « … quiconque se livre au péché est esclave du péché. »

    Ce sont des lâches, forts avec les faibles, faibles avec les forts, à l'instar d'un Dupond-Monétise, qui s'étalent comme le contenu d'une poche anale percée dès lors qu'ils ne sont plus soutenus par leur gang(ue) sabbatéen(ne). N'ayons pas peur, parce que, « si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? »… C'est toujours notre manque de foi qui est notre faiblesse ; ce n'est que notre manque de foi. Et manquer de foi c'est être semblable aux pitoyables représentants du camp d'en face, argument qui doit suffire à renforcer notre foi. Ils ont peur de la mort : celle-ci est notre lumière. C'est le moment des comptes, enfin, et surtout celui du chrétien, qui n'est pas de ce monde — quel soulagement, quelle délivrance et quelle espérance !

    Ils blasphèment en permanence, se moquent grossièrement de tout discours chrétien : remettons en toute occasion Dieu au centre, c'est-à-dire à sa place, et faisons respecter Son saint nom ; dans son message public, Notre-Dame a pointé le blasphème comme une de nos fautes les plus graves. Ils ne visent que leur intérêt matériel : méprisons les biens matériels. Ils ne visent que leur intérêt immédiat : méprisons tout ce qui est temporel. Ils ne visent que leur intérêt personnel : méprisons notre personne.

    Ils ne visent que la satisfaction de leurs sens, de leurs instincts les plus grossiers : refusons d'être asservis à nos sens, pratiquons la pénitence et le mépris du corps. Ils ne sont intéressés que par la pornographie et l’onanisme : rejetons absolument ces moyens de corruption ; le péché d’impureté est l'un des pires que nous puissions commettre (s'il n'y avait l'orgueil, incontestablement aucun péché ne lui disputerait la première place).

    Le Padre Pio subissait les assauts du démon pour sauver les autres du péché d’impureté. (Les personnes saintes prennent sur elles les péchés des autres, à l'instar de Notre-Seigneur.) Il n’y a pas de plus grand péché que le péché d’impureté. L’onaniste, le fornicateur ont cette marque, celle de la Bête, énorme, imprimée sur toute la face, dans toutes les fibres de leur être. Je n’ai jamais vu quiconque sortir de cette vase. Ces gens sont damnés ; il faut les fuir. Il faut fuir tout ce qui empeste, c'est infesté. Les gens mauvais portent avec eux l’odeur de leurs vices. De même, quand Satan s’en va, il laisse une odeur nauséabonde. C’est l’odeur du mal.

    Certains mangent des matières fétides, putréfiées, du lait d’animaux moisi, des charognes — alors que précisément les exhalaisons en sont abjectes pour qu'on les fuie, c'est un signal d'avertissement qu'il y a nocivité, danger. Il ne faut pas s’étonner après que l'âme soit putride pareillement. On est ce qu’on ingurgite. Les gens de l’Udaf ne sont pas que des charognards, ils n’attendent pas que vous soyez mort cliniquement, ils vous saignent tout de suite. Ils vous laissent vous vider de votre sang. Quand vous êtes exsangue, ils embarquent la carcasse et font bombance avec.

    Ils ont du sang qui leur dégouline de partout, leurs pattes crochues, leurs griffes, leurs canines sont pleines de sang encore fumant. « Le carême, ils vont à la boucherie comme les chiens », accuse Notre-Dame. « Bouchers ! » renchérit Notre-Seigneur. Certains y vont toute l'année, à la boucherie ; et certains se délectent des lambeaux de chair qu'ils arrachent. L'écorchage à vif est précisément la mission première de l'Udaf, inspirée et généreusement rétribuée par Satan, et accomplie — à distance, sans qu'il ait besoin de quitter son fauteuil en peau — par quelque exécutueur des basses œuvres.

    Satan est « le Prince de ce monde ». On peut en déduire que ceux qui se complaisent en ce monde sont ses adeptes, voire ses fils, si l'on pouvait dire que Satan est capable d'engendrer ou de créer, lui qui ne sème que la divison (diable : « celui qui divise »), la destruction et le chaos. Mais c'est même une façon de les reconnaître, ces adeptes : ils se complaisent en ce monde. On les identifie ainsi facilement. C'est leur monde ; ce n'est pas celui des chrétiens. Ce monde n'est pas le nôtre. « Éloigne-toi de ces gens-là », nous met en garde saint Paul.

     

    « Le dragon maléfique transfuse, dans les hommes mentalement dépravés et corrompus par le cœur, un flot d'abjection : le virus de sa malice, l'esprit de mensonge, d'impiété et de blasphème, le souffle mortel du vice, de la luxure et de l'iniquité universalisée. » (Petit exorcisme de Léon XIII.)

     

     


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  •   « Pourquoi ne devrais-je pas dénoncer
    les choses que les autres n’ont pas honte de faire ? »
    Saint Jérôme.

     

     « Car depuis le plus petit jusqu’au plus grand,
    Tous sont avides de gain ;
    Depuis le prophète jusqu’au sacrificateur,
    Tous usent de tromperie. »
    Jér., vi, 13.

     

    Début 2019, vous m’avez placée sous curatelle renforcée, confiée aux aegypiidés** de l’Udaf. Ladite Udaf prélève chaque mois une ou plusieurs sommes sur mon compte : il faut le noter, puisque c’est tout ce qu’elle fait. Mais vous connaissez mieux que moi — qui les découvre (avec stupeur et tremblements !) — ses pratiques.

    Pour être exhaustif quant à l’action de l’Udaf, il faut préciser qu’elle a fait une autre chose : m’empêcher de déménager. En l’espace de deux ans, elle a donc fait une action : m’empêcher de déménager (pour ne pas perdre un client, et donc des sous aujourd’hui et donc des sous demain quand je serai macchabée). Il est inutile de préciser que j’ai fait toutes les démarches, les déplacements (vélo, car, bus, tram…), etc. La touche finale, qui a consisté à poser le veto à mon déménagement, c’est l’Udaf qui l’a faite, via une réponse à un coup de téléphone. C’est pour ce service que je me vois prélever une part de mes revenus. Le principe de l’Udaf, c’est donc de payer l’Udaf pour un service que l’on… rend à l’Udaf.

    Sans entrer dans le détail, je n’ai pas d’eau chaude, la toiture de la masure est pourrie*** (l’eau constelle les plafonds), je ne peux pas consulter même un rebouteux pour mes problèmes qui s’aggravent au contact des pesticides et des champs de la mort. Le bâtiment, sis sur des sources et un puits, a entre 85 et plus de 95 % d’humidité. Il est tellement agréable que la manipulatutrice ne s’y est risquée qu’une fois (pour récupérer les relevés de compte), et pas seule – aurait-elle peur ? On a peur quand on vit dans le mensonge ou qu’on a la conscience chargée (ce qui suppose une conscience, la manipulatutrice
    ne semble pas concernée). Vient pourtant un jour où chacun doit se faire face — sans réseau, sans fraternité ou sororité, sans l’impudence et la chutzpah illimitée que donne l’alliance dans le crime.

    La manipulatutrice m’a empêchée de déménager ; prévoit-elle de me faire livrer une tente Quechua pour me faire passer l’hiver ? Je ne pense pas qu’elle se donnera cette peine. Elle préfère me voir crever d’engelures et de froid. Moi-même je préférerais infiniment me voir crever sur-le-champ : nos intérêts convergent, in fine.

    On trouvera toujours des rentiers des organismes sociaux « pas mécontents » (pour peu qu’ils soient débiles) des « services » de l’Udaf. Mais les Sisyphe protégés qui gagnent péniblement quelques sous en travaillant et qui se voient prélever des sommes supérieures n’ont, eux, fatalement, que la rue pour avenir, tôt ou tard… Ce qui signifie aussi une baisse de revenus pour l’Udaf : qu’elle y songe ! Acculer les gens faibles au suicide, c’est semble-t-il un grand classique. Les intimider par l’envoi de lettres d’huissier, puis par des saisies sur leur compte, c’en sont d’autres. Privée de tout par les bons soins de la justice et de l’Udaf, je ne crains pas la mort, bien au contraire, et c’est ma seule force. Pour le reste je n’ai que des faiblesses, il est vrai, et cela fait les affaires des gens de ce monde. Mais ce monde n’est pas le mien.

    L’ange dit à la bienheureuse Stéphanie : « Quand l’homme marche par ce chemin de l’affliction et de la désolation, l’amertume qui remplit son pauvre cœur le dégoûte entièrement du monde […]. »

    Si l’institution judiciaire m’empêche de jouir — par le biais de la corruption la plus grossière — d’un bien immobilier, si elle m’empêche par ailleurs — toujours en vertu de sa fidélité inviolable à Mammon — de me porter locataire d’un logement, il me reste à partir sur les routes avec un balluchon, mais la république nous confine désormais sans retour : comment sortir de cette aporie ?… Que ferait-elle d’un Benoît Labre ? L’aurait-elle déjà mis sous tutelle ? (Je ne peux pas non plus acquérir de concession pour héberger mon cadavre…)

    Je dois habiter (et non pas « vivre », Dieu merci !) céans 365 jours sur 365. Mais
    la manipulatutrice s’en fiche, et je la comprends. Je comprendrais même qu’elle s’en réjouisse parce que je sais que l’humain déchristianisé se réjouit du malheur de l’autre. Ainsi va l’humain qui ne craint pas Dieu. Même Satan se demande ce qu’il en ferait de ce genre d’âme parce qu’elle lui est acquise et Satan, celles qui l’intéressent, ce sont les âmes dures à conquérir ; les autres il les a déjà dans la poche, in the pocket. Elles sont perdues pour tout le monde, à commencer par elles-mêmes. Il faudra le dire à la manipulatutrice. Mais elle s’en fiche parce que, un disciple de Mammon, ça vit ici et maintenant.

    « […] la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière ; et ne vient point
    à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dévoilées » (Jn, III, 19-20), voilà qui explique
    la discrétion de bien des gens, sectaires et autres vils escrocs, qui œuvrent en coulisses, toujours.
    Mais l’institution judiciaire — républicaine par définition et donc sataniste par essence — est là pour
    les protéger, qui a été créée expressément pour eux, puisque « la vérité n’a pas besoin de lois », elle. La République française a pour sa part quelque 550 000 articles de loi et 8 millions de dispositions applicables… Le mensonge a besoin de lois : son célèbre père se charge de les élaborer pour ses disciples. C’est la définition de la république : le mensonge institutionnalisé. Il faut des institutions pour le supporter (et de bons fonctionnaires).

    Certains rendaient la justice sous un chêne, en plein jour et au nom de Dieu ; en république on la rend en loge, dans un sous-sol ou un gay lupanar, à la lumière de Lucifer. Quand on intrigue, qu’on échange des petits billets ou de bons procédés, on fait ça discrètement. Moi, je n’ai rien à dissimuler, rien à taire. Je ne dirai toutefois pas que les manipulatutrices tapinent tapies, ça fait trop d’allitérations.

    « Tu écouteras la parole qui sortira de ma bouche, et tu les avertiras de ma part. Quand je dirai
    au méchant : “Tu mourras !” si tu ne l’avertis pas, si tu ne parles pas pour détourner le méchant
    de sa mauvaise voie et pour lui sauver la vie, ce méchant mourra dans son iniquité […]. Mais
    si tu avertis le méchant, et qu’il ne se détourne pas de sa méchanceté et de sa mauvaise voie,
    il mourra dans son iniquité
    […]. » (Éz., III, 17-19.) C’est le Seigneur qui le demande, d’avertir

    le méchant. Je relaie Sa demande, si quelques-uns veulent encore être sauvés. Respectueux de notre liberté (de faire le mal), Il ne veut pas nous sauver malgré nous.

    Je lui sais gré, à la manipulatutrice : elle contribue à ma sanctification. Tous les démons contribuent à la sanctification de ceux qui restent fidèles. Les démons sont permis par Dieu à cette fin. Mais la manipulatutrice devrait penser aussi à elle, à son salut, au moins une fois — si elle n’est pas irrémédiablement damnée (c’est un pléonasme, il faut le savoir).

    « Si, par la volonté ou par la permission de Dieu, des oppressions, des persécutions, des opprobres,
    des violences, des rapines se produisent, ne les acceptons pas seulement avec patience, mais avec joie […]. » (Sainte Angèle de Foligno.)

    La manipulatutrice m’a empêchée de déménager. Je m’en doutais cela dit. Mais j’aurais espéré que, peut-être, elle n’irait pas jusque-là, qu’elle ne serait pas aussi prévisible.
    Les disciples de Mammon sont toujours prévisibles. On sait ce qu’ils vont faire,
    puisqu’ils visent toujours leur intérêt (matériel et immédiat, ils ne voient pas au-delà).

    Je comprends que c’est son intérêt. Je comprends bien qu’elle n’a pas d’autre intérêt que son intérêt (immédiat). Le problème, c’est que son intérêt n’est pas le mien. Et on m’a trompée ! Mais le gros des troupes de l’Udaf étant constitué de gens qui ne disposent pas de la parole c’est un devoir pour ceux qui le peuvent, dès qu’ils le peuvent — et même s’ils sont aphasiques et même si c’est extrêmement pénible —, de témoigner, de se sacrifier s’il le faut.

    Chaque jour voit son lot de personnes protégées spoliées. Nonobstant, aucun jour ne voit son tuteur ou son notaire condamnés. On croirait qu’on a affaire à des réseaux mafieux ! On croirait qu’on a affaire aux mêmes protégés par les mêmes. Seraient-ce les mêmes protégés par les mêmes ? Devrais-je le demander à ces mêmes ! Pierre Bergé qui dit « je suis un mafieux », il en deviendrait presque sympathique, il se fait mafieux pour quelques milliards. Mais que penser de la sous-lie qui s’abaisse à des procédés mafieux pour quelques milliers : qu’elle inspire la pitié ? Elle peut toujours espérer de l’inspirer au jour du Jugement.

    « Ils jetteront leur argent dans les rues, Et leur or sera pour eux un objet d’horreur ;
    Leur argent et leur or ne pourront les sauver, Au jour de la fureur de l’Éternel […]. » (Éz., VII, 19.)

    Cette lettre n’appelle pas de réponse (les lettres que j’ai eu l’honneur de recevoir de votre part concernaient des saisies sur mon compte au profit de la truelle pédérastique — mais je suis sûre que « ce n’est qu’exceptionnellement que [celle-ci] utilise les réseaux de [sa] secte, où l’on se refile les gosses, et où l’unique séduction est celle du portefeuille ». C’est le violeur qui le dit. Quand on n’hésite pas à violer, on hésite encore moins à mentir). C’est juste un petit topo parce que tant va la cruche à l’eau qu’à la fin.

    Toutefois, jusqu’à quand ? C’est une question oratoire, j’en sais la réponse.
    Jusqu’à quand la captivité dans une geôle humide gardée — à bonne distance tout de même ! — par les kapos de l’Udaf qui ne veulent pas perdre le bout de gras ?

    Enfin, pourquoi le protocole habituel (mise sous tutelle, élimination en HP, spoliation) n’a-t-il pas encore abouti (quelques semaines ont suffi pour ma petite-cousine par exemple) ? Ce serait avantageux pour tout le monde que je sois tout à fait morte, pour la manipulatutrice en premier lieu, qui n’aurait plus qu’à disposer. Quand on ne craint pas Dieu, tout est permis ! On ment, on vole : on peut tuer. « Le mensonge, en droit français, n’est pas un délit. » Ajoutons officiellement : « Le vol n’est pas un délit », « Le meurtre n’est pas un délit », et l’affaire est bouclée. Il semble toutefois qu’en république on saigne la bête jusqu’à ce qu’elle soit exsangue mais qu’on ne l’achève pas directement : pas assez cruel ?…

    Si Dieu veut, un jour l’ennemi sera nommé, mais celui qui le suit aujourd’hui doit savoir
    qu’il le précédera demain. La Gueuse vit ses dernières heures, la démonocratie ne sera
    pas éternelle, grâce à Dieu.

     

     

    * L'allitération est totalement fortuite.

    ** Ce terme est choisi par charité, puisque les manipulatuteurs de l'Udaf commencent à déchiqueter leurs proies à vif, tandis que les aegypiidés ne sont que des charognards et effectuent un travail éminemment utile et bénéfique. 

    *** Ce terme est impropre. La toiture est décédée.


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